Infrastructures : investir dans l’air du temps

Portées par les grandes transformations de demain, les infrastructures deviennent un terrain d’opportunités pour les investisseurs privés. Au programme : des projets porteurs de sens, un potentiel de rendement maîtrisé et une réelle diversification patrimoniale. Décryptage.

Les infrastructures : quezaco ?

Les infrastructures sont au cœur de nos économies modernes et recouvrent une grande variété de secteurs en pleine mutation : transports (aéroports, ports, autoroutes), télécommunications (réseaux de fibre optique et data centers), énergies renouvelables (éolien, solaire, hydraulique) ou encore infrastructures sociales (hôpitaux, écoles, logements sociaux…).

Avec des besoins de financement en forte hausse et un désengagement progressif du secteur public, les acteurs privés jouent un rôle croissant dans la modernisation des réseaux, l’essor de la mobilité bas carbone, le renforcement de la connectivité et la transition énergétique.

Portées par une demande structurelle durable, elles représentent aujourd’hui une opportunité d’investissement ancrée dans l’économie réelle et peu corrélées aux marchés financiers.

Et si c’était la bonne idée ?

Longtemps réservés aux investisseurs institutionnels, les fonds infrastructures trouvent désormais leur place dans les contrats d’assurance-vie et les plans d’épargne retraite (PER). Leur succès auprès des épargnants s’explique par plusieurs facteurs : une stratégie défensive peu soumise à la volatilité ; des sous-jacents générant des flux de trésorerie stables, récurrents et prévisibles ; de fortes barrières à l’entrée ; des rendements attractifs sur le long terme et enfin une protection contre l’inflation grâce à l’indexation des projets.

Ces fonds investissent dans des actifs tangibles — réseaux de transport, parcs éoliens ou solaires, centres de données, installations de traitement de l’eau et des déchets — autant d’équipements essentiels à la modernisation des territoires. Les revenus générés (péages, loyers, concessions) leur confèrent une visibilité précieuse dans une allocation patrimoniale de long terme, soutenue par des contrats d’exploitation généralement pluriannuels, voire multi-décennaux.

Vous avez dit robuste ?

Dans un environnement marqué par l’incertitude sur la croissance et l’inflation, à l’heure où le prix de nombreux actifs atteint des niveaux historiquement élevés (notamment les actions et les cryptoactifs), investir dans les infrastructures offre une alternative de diversification particulièrement pertinente. Depuis 2001, elles ont d’ailleurs mieux résisté que l’immobilier, les obligations ou les actions lors des phases de faible croissance ou de récession.

Et bien sûr, comme tout investissement, elles comportent néanmoins des risques parmi lesquels perte en capital ; risques réglementaires, politiques et climatiques propres à ce type de projets ; absence de liquidité.

Un accompagnement sur mesure

Chez ALIQUIS Conseil, nous intégrons cette classe d’actifs lorsqu’elle apporte une réelle valeur ajoutée à votre stratégie patrimoniale, en adéquation avec votre profil investisseur et vos objectifs de long terme. Notre sélection s’appuie sur une analyse exigeante des fonds et de leurs gestionnaires.

Nous travaillons notamment avec ANDERA, acteur de référence du non coté, dont les solutions en unités de compte permettent d’accéder à des projets d’infrastructures sélectionnés avec rigueur.

Investir dans les infrastructures s’inscrit plus que jamais dans l’air du temps… et dans une stratégie patrimoniale tournée vers l’avenir !